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Comment peut-on influencer la croissance d'une plante grâce à la musique ?

 

 

 

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Il y a une trentaine d’années, Joël Sternheimer, physicien de formation, élève du prix Nobel de physique de 1929 Louis de Broglie, poursuivait ses recherches sur la physique des particules aux États-Unis.

Joël Sternheimer prédit et mit indirectement en évidence l’existence de ce qu’il appelle des ondes d’échelle ou protéodies, qui seraient émises par des particules et notamment, dans les cellules vivantes, par les acides aminés, à des fréquences inaudibles. La présence de ces ondes, dont il calcule les fréquences, expliquerait certaines interactions et comportements des molécules entre elles.

 

 

Que sont les protéodies ?
Les protéodies sont une ‘proto-musique’ intérieure à la cellule vivante, rendue à présent accessible par le décryptage des génomes. Ces suites de fréquences associées in situ à l’élongation des protéines exercent sur leur biosynthèse un rôle régulateur, que conserve, remarquablement, leur transposition dans la zone audible.

 

 

Des signaux quantiques à l’échelle des acides aminés
Suivant les théories et les calculs de Joël Sternheimer, considérons que les vingt acides aminés, véritables piliers de l’organisation métabolique, émettent chacun une onde dont on peut calculer la fréquence. Ces ondes sont émises au moment où ces acides aminés, transportés par les ARN de transfert, s’assemblent pour former des protéines. Les signaux seraient des ondes de nature quantique applées “ondes d’échelle”, c’est-à-dire qu’elles relient entre elles des échelles différentes - ici l’échelle de chaque acide aminé à l’échelle de la protéine en formation.

 

 

Une correspondance avec les notes de musiques
On peut rendre ces fréquences audibles en les transposant, par exemple, en notes de musique. Nous obtenons donc pour une protéine, qui est une suite d’acides aminés, une succession de notes. En fonction de la complexité de la composition des protéines, qui peuvent regrouper une dizaine d’acides aminés ou des centaines, nous obtenons une véritable mélodie, une partition variant donc d’une dizaine à plusieurs centaines de notes.

 

 

Des recherches selon les séquences des acides aminés
De très nombreuses séquences d’acides aminés sont connues et disponibles sur différentes banques de données comme celle de la National Biomedical Research Foundation aux États-Unis. “Chaque protéine peut être caractérisée par sa musique, qui est une vision de la protéine à une autre échelle”, précise Joël Sternheimer. Selon les résultats de ses expériences, la diffusion de la mélodie spécifique d’une protéine ainsi amplifiée, peut stimuler sa synthèse dans un organisme.

Il suffirait donc de “décoder ” les ondes d’échelle émises par les acides aminés d’une protéine et à les transposer en notes pour agir sur un organisme en augmentant la production de la protéine. Se faisant l’écho des travaux de Joël Sternheimer, Jean-Marie Pelt explique le processus: “Lorsque les plantes “écoutent” la mélodie appropriée, les ondes acoustiques sont transformées “microphoniquement” en ondes électromagnétiques elles-mêmes sources “d’ondes d’échelle”, et elles se mettent à produire la protéine spécifique à cette mélodie”.

 

 


La musique et les Plantes
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Mais Joël Sternheimer va plus loin. Si l’on connaît la succession de notes correspondant à une protéine, on peut la stimuler; mais on peut aussi l’inhiber, c’est-à-dire freiner sa fabrication. Il suffit pour cela d’avoir la mélodie “symétriquement opposée”. Très schématiquement, si la mélodie qui stimule est dans les “graves “, celle qui inhibera sera dans les “aiguës “. Chaque acide aminé possédant son équivalent en note stimulante et en note inhibitrice, on disposera de deux décodages, deux mélodies pour chaque protéine…

 

 

Des recherches reconnues par la communauté scientifique
En juin 1992, Joël Sternheimer, professeur à l’Université européenne de la recherche, a déposé le brevet du ” Procédé de régulation épigénétique de la synthèse protéique” .
La validité de son travail dans ce domaine a été reconnue par un jugement de la chambre de recours de l’Office Européen des brevets en date du 8 mars 2004.
Selon Jean-Marie Pelt, président de l’Institut Européen d’Ecologie,: ” Par ces recherches originales à la charnière de la biologie moléculaire et de la physique quantique, Joël Sternheimer, nous donne peut-être la clef ou l’une des clefs, des effets de la musique sur les plantes”?

Ainsi, faire régulièrement écouter à un plant de tomates la musique correspondant à une protéine jouant un rôle dans le mécanisme de sa floraison, stimule la production de cette protéine dans la plante, qui donnera plus de fleurs qu’à l’accoutumée !

 

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--- Voir l'interview de Joel Sternheimer à propos des protéodies---

 

 

D'après NeoTrouve et Blueman Merci !

 

 

 

 

 

 

Autre liens:

 

http://home.aol.com/JMSternhei
http://www.bekkoame.ne.jp/~dr.fuk/
http://quanthomme.free.fr/energielibre/systemes/PageQuestionEOM.htm
http://www.bekkoame.ne.jp/~dr.fuk/MusiquePlantesNC.html
http://eso-news.blogspot.com/2007/10/effet-de-la-musique-sur-les-plantes.html
http://www.genodics.net/JMSternhei/index.html



05/12/2010
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